Gouvernance, conduite du changement, gestion des risques et réseaux sociaux

Des bouleversements du paysage technologique dans la gestion de contenus notamment par l’importance du déploiement de SharePoint, mais également de la mise en perspective d’un nouveau système clairement orienté vers l’engagement (versus la conservation), à la réalité de nouveaux risques (exposition sur les réseaux sociaux), John Mancini explique en quoi la conduite du changement est impérative dans les organisations.

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3 réflexions sur “Gouvernance, conduite du changement, gestion des risques et réseaux sociaux

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  2. Tout à fait d’accord sur l’évolution durant la dernière décade concernant l’accès à l’information, sa propagation, sa maîtrise puis arrivé à ce jour, avec l’utilisation des réseaux sociaux, pendant ou hors des heures de bureau, le fait est qu’il faut cesser de jouer l’autruche et éduquer les personnels, les dirigeants en conséquence sur les risques inhérents à ce changement. Pas seulement le fait que la technologie devient à la portée de presque tous, mais bel et bien de savoir dans quelle mesure cela peut impacter sur la notoriété ou au contraire la mauvaise réputation d’un employé ou de son entreprise. Suivant que l’on se place du côté du dirigeant qui s’aperçoit que son salarié surfe pendant ses heures de bureau, voire même apparaît sur facebook durant son congé maladie. Cela n’aura pas le même impact que si l’on se place du côté du salarié qui lui a tendance à voir une source de partage plaisant, une distraction. Une distraction qui peut coûter cher : perte d’informations, infection des ordinateurs, fuite de données, rendement moindre des employés, moins de maîtrise sur leur travail et leur temps « libre » voire le temps utilisé à surfer et surtout à bavarder sur les réseaux sociaux ou les forums, pendant les heures de travail. Pour le salarié, cela peut être perte de son travail ou au minimum de la confiance de ses chefs, une vision d’inefficacité et de forts coûts de maintenance informatique pour remettre d’aplomb les ordinateurs qui auraient pu être infectés par l’entrée de virus, ainsi que le prix de la perte de données éventuelle.

    Les risques sont bien là, à de nombreux niveaux. L’intérêt des nouveaux outils peut être marketing, bonne réputation de l’entreprise, communication améliorée et réactivité, si tant est que l’éducation est faite et certaines règles de prudence sont respectées quant à la sécurité de l’informatique et à l’agrément de certaines personnes pour communiquer au nom de leur entreprise. Cela peut s’appeler community manager, bloggeur, curator, influenceur, responsable marketing de l’utilisation de la collecte de données via les cookies, l’achat de bases de données ciblées issues des réseaux, ou tout autre poste qui ne manquera pas d’émerger des nouvelles applications à venir.

    La gouvernance doit se positionner, non comme un gendarme, mais tel une mise en valeur par quelque uns ou donnant accès à certains à une partie des outils et à certaines fins, avec des garde-fous, tel l’engagement de confidentialité, la clause de non concurrence, la surveillance des historiques de connexion, le suivi et l’analyse des fans de l’entreprise sur le blog ou la page de réseau de l’entreprise. Ainsi les nouveaux outils peuvent être utilisés pour du télétravail, pour un partage et un retour d’information pour les commerciaux, sans attendre leur retour à la base, pour développer l’interaction avec les consommateurs, pour être à l’écoute des commentaires sur la marque ou la démarche de la société.

    Bien d’autres applications et bien d’autres utilisations verront le jour, comme la vidéoconférence en 3D ou autre liés au web 3.0.

    Comme chaque nouveauté, il faut qu’elle soit bien comprise et bien utilisée.

    Un rapide coup d’oeil pour les néophytes sur http://besmart.fr/outils/ une centaine d’outils qui peut avoir son heure de gloire, tout comme le minitel avant d’être détrôné par les écrans plasma 😉

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