Best of 2010 : Entreprise 2.0, ECM, community manager et eReputation


Encore une tradition à laquelle il me plaît de ne pas déroger, et pour vous une occasion de relire ou de découvrir des notes moins récentes mais je l’espère toujours pertinentes :

Les notes que vous avez préférées en 2010 :

Community manager : le poids des mots, le choc des cultures
L’entreprise 2.0 et son corollaire l’eMarketing ont propulsé sur le devant de la scène leur nouvelle égérie unanimement baptisée « community manager » et les agences adorent !…..
Intégration « content management » et entreprise 2.0
L’entreprise 2.0 est un modèle qui va permettre à nos organisations de continuer d’évoluer, mais cela n’est pas sans difficultés tant l’existant est important, voire stratégique, surtout quand on aborde la question des processus métiers….
LinkedIn, Viadeo, Xing et actifs informationnels (RH?)
Aux côtés de Twitter et de Facebook, il existe un autre type d’applications de réseautage sur lesquelles bon nombre d’entre-nous publient et échangent : ce sont les réseaux sociaux de mise en relation professionnelle du type LinkedIn ou encore Viadeo ou Xing…..
Entreprise 2.0 et entreprise : les cas Lyonnaise des Eaux, MMA, L’Oréal ..
Souvent une illustration est plus pertinente qu’un long article !
Tout d’abord retrouvez l’interview de Richard Collin [Professeur, Directeur de l’Institut de l’Entreprise 2.0  Ecole de Management Grenoble, Directeur associé de Nextmodernity]…..
Intuitions 2011 : mobilité, sphère privée et rentabilité
C’est devenu un exercice convenu, notamment outre Atlantique, et mi décembre, chacun y va de ses prédictions pour l’année suivante. Alors pourquoi pas nous ? …
Entreprise 2.0 : gestion du volume et contrôle du débit d’information
2020 :  35 millions de zettabytes d’information disponibles selon les uns (1.2 zettabytes pour 2010), cela fait beaucoup ! En 2020, nos journées feront toujours 24 heures et comme nous (moi, et vous ?) …..
Entreprise 2.0 et applications mobiles : nouvelle frontière de la gestion de contenus ?
Le modèle 2.0 et l’incroyable rapidité du développement des applications mobiles constituent une nouvelle frontière pour les applications de gestion de contenus.
Jusqu’alors, les fournisseurs de solutions de gestion de contenus travaillaient à partir du postulat suivant : verrouiller les contenus et organiser les échanges en fonction de processus (flux) métiers très structurés – en parfaite harmonie avec une organisation client-serveur, et la sécurisation des informations dans une zone protégée (firewall)….
Personal branding, eReputation, ID numérique, .., so what ?
Avant de regarder ces initiatives sous l’angle de la gouvernance de l’information, il est important de s’adresser aux spécialistes pour mieux comprendre de quoi nous parlons……
(e)Promotion, (e)Réputation, (e)xposition,…, (e)ntreprise (e)t moi
L’IFOP, sous la direction de Frédéric Micheau a récemment réalisé un sondage sur l’utilisation du « personal branding » au service des marques pour le compte de l’Atelier….
La gouvernance de l’information : une affaire trop sérieuse pour être laissée dans les mains des… ?
Qui pour prendre en charge, la stratégie et les programmes de gestion des actifs informationnels ?
La gouvernance de l’information est une affaire sérieuse, très sérieuse et probablementTROP sérieuse pour être laissée dans les SEULES mains des …….
Actifs informationnels vs Données
Le débat autour de la gestion de l’information et des données n’est-il qu’une illustration de la différence des points de vue des métiers et des techniques ?…
ECM 2.0 : Interopérabilité, Standards et Certification
La gestion électronique de documents, et plus généralement de contenus, continue à évoluer au gré, notamment, des déploiements des applications du modèle 2.0…..
Données, documents, où est la valeur ?
On a déjà évoqué la question contenu – contexte dans le cadre de notre réflexion quant à l’évaluation des actifs informationnels.
Si l’on se réfère à l’infographie ci-dessous, il est clair qu’il devient urgent de statuer sur la valeur de chaque information et de savoir où réside cette valeur….
Humanitaire 2.0 : « real time data » et media sociaux pour plus d’efficacité !
Hier se déroulait à Genève le TEDx 2010 et parmi les nombreuses présentations que j’ai suivi, celle de Paul Conneally du CICR a particulièrement retenu mon attention…….
Entreprise 2.0 et output management ?
Il n’y a plus un jour, une conférence, une note, qui ne se réfère à l’entreprise 2.0 et aux formidables changements que vont apporter les applications de partage et de collaboration, la maîtrise de la réalité augmentée, le cloud, etc..
Au delà de l’enthousiasme, il faut « savoir raison garder » et nous méfier de notre capacité à nous émerveiller facilement et de notre candeur…..

Merci de votre contribution et de nos échanges.
Bonnes Fêtes !

Intuitions 2011 : mobilité, sphère privée et rentabilité


C’est devenu un exercice convenu, notamment outre Atlantique, et mi décembre, chacun y va de ses prédictions pour l’année suivante.

Alors pourquoi pas nous ?

Boule de cristal
Soyons clair, nous me sommes pas des experts du Tarot, de plus nous n’avons pas acheté une boule de cristal !

Nous resterons donc modestes en précisant nos intuitions et nos observations dans cette note.

1. La mobilité sera en vedette en 2011 avec un taux d’adoption très haut à travers le monde, adoption favorisée par des applications de plus en plus nombreuses et pertinentes dans tous les domaines : professionnels, humanitaires, éducation, loisirs, etc.

MobilitéSmartphones, tablettes, autant de « nouveaux » supports qui vont enfin favoriser l’adoption et l’utilisation de ces applications.
Une question reste ouverte : les opérateurs de téléphonie mobile (à court d’innovation depuis 10 ans) continueront-ils à n’être qu’un canal de distribution des appareils et un fournisseur de « tuyaux » ou seront-ils capables d’affronter le marché avec de nouvelles offres/produits ?

2. le cloud, plus que jamais !
Au delà du « buzz », le cloud computing est le socle technique sur lequel s’épanouit la mobilité et il va connaître un développement toujours soutenu.
Certaines questions (sécurité, disponibilité) restent ouvertes mais plus personne ne doute de l’intérêt du cloud computing, ne serait-ce qu’au regard de préoccupations strictement économiques.

3. le déclin de Facebook

Vous pensez paradoxal au vu des assertions précédentes ?

Le modèle Facebook est tout sauf clair et l’appropriation de cette application par les services marketing des entreprises peut lui coûter cher.
Facebook a besoin de vous (vos données) pour servir les opérations marketing des entreprises, mais Facebook vous apporte si peu en échange !
Au delà des questions de protection des données personnelles, est-il possible pour Facebook de tenir longtemps ce « grand écart » ?

4. Twitter : nouvelle agence de presse ?
Pour beaucoup d’entre-nous Twitter (qui n’a rien d’un réseau social) est en quelque sorte une organisation du type agence de presse dont le fil est alimenté au regard de nos intérêts par les contributeurs que nous avons choisis.
Avec des outils du type paper.li (agrégation automatique de contenus poussés sur Twitter ou autres réseaux sociaux), il devient possible d’aller plus loin dans la diffusion de ces contenus et la création « à la demande » de supports pertinents, faciles et valorisants, ne manquent plus que les journalistes !

5. Les réseaux sociaux d’entreprises (RSE)  progressent et c’est l’entreprise 2.0 qui avance un peu plus avec eux.
A la différence de Facebook, les réseaux sociaux d’entreprises apportent une réelle valeur ajoutée et leur adoption par les entreprises et les organisations ira croissante.
Pour autant, ce ne sera pas « le grand soir » et il est certain que la mise en oeuvre de ces solutions se fera projet par projet.
Ce qui signifie rester dans une approche peu transversale et vraiment pas entreprise 2.0 !

6. Sphère privée et sécurité
L’infobésité qui caractérise notre époque est naturellement due aux innovations technologiques (web 2.0, facilité d’accès, etc.), mais elle pose d’énormes problèmes de contrôle et de gestion.
En 2011, les questions liées au respect de la sphère privée ainsi qu’à la sécurité des données et des informations vont dominer le débat au niveau technique mais également fonctionnel.
Les projets de gouvernance de l’information continuent à avancer en fédérant les ressources stratégiques dans l’entreprise.
En 2011, seuls les projets (dossier patient, open data, etc.) et les solutions qui pourront apporter la preuve du respect de la sphère privée gagneront la confiance durable des utilisateurs !

7. l’ECM et BI un mariage qui va bien
Avec le case management, il est probable que les éditeurs sont aujourd’hui capable de proposer des solutions matures pour un marché en croissance soutenue.
En 2011, le décisionnel restera essentiel et les solutions de gestion de contenus qui lui viennent en soutien  connaitront, du fait de leur pertinence, un vrai succès.
A noter également, la forte progression des solutions open source et des standards d’interopérabilité qui va contribuer à faire de ces outils des réponses transversales adaptées aux besoins des entreprises.
Pourtant, elles ne pourront pas en rester là et devront offrir rapidement des  solutions à la question des contenus « mobiles ».

8. Entreprise 2.0 : la recherche de rentabilité

Le modèle 2.0 est porteur de perspectives de croissance mais son adoption par les entreprises et les organisations est encore timide.
Les technologies sont là et ne demandent qu’à être mise en production.
Si les considérations techniques et la frilosité de certaines directions informatiques sont un frein à la mise en oeuvre de l’entreprise 2.0, il est probable que nous assisterons, en 2011, à la multiplication d’expériences réussies dans différents secteurs économiques.
L’entreprise 2.0 ce n’est pas une page Facebook, un compte Twitter et un community manager ; l’entreprise 2.0 ce sont des projets collaboratifs organisés autour de solutions du type RSE en production à un niveau départemental ou transversal et ce modèle restera en quête de ses indicateurs de rentabilité en 2001.

Enfin, pour se détendre un peu :
Et si Apple absorbait Adobe  ? ou HP qui achète SAP ? ou bien…… je laisse les analystes à leurs prédictions………….

Meilleurs voeux et à bientôt !

Information, techno 2.0, media sociaux Et le maillon faible !


Wikileaks traîne dans son sillage beaucoup de questions et quelques premiers enseignements.
Il suffit de parcourir ou d’écouter les media pour avoir un aperçu de notre perplexité collective quant aux objectifs de ce site, à ceux de Julian Assange ainsi qu’en ce qui concerne les sources de ce grand déballage ; bref, à qui profiterait « le crime »?

Il est probalement des mises en perspectives différentes de cette « affaire » qui méritent qu’on s’y attarde et je voudrais citer en premier la note Wikileaks : quand la politque devient technologique publiée par Xavier de la Porte sur Internet Actu (à lire, si ce n’est déjà fait).

Cette illustration du « répit » apporté par Wikileaks dans le déploiement (au moins sur le papier) à vitesse grand V dans le Cloud me permet de regarder cette « affaire » sous un angle également intéressant.

Une information dopée par les technologies

Nous l’avons déjà écrit dans une note publiée récemment : L’information est née de la contextualisation et de l’interprétation des données. Elle est donc étroitement liée aux systèmes en production, sans lesquels, elle n’existe pas.

En dehors du « cloud computing » sur lequel s’appuient la majeure partie des solutions de gestion de l’information, il est patent que la technologie à disposition, notamment l’enregistrement systématique des données au service des méthodes de « records management », a permis « l’explosion » de Wikileaks.

Il n’est pas étonnant de voir à quelle vitesse ces informations (sous un format original probablement dématérialisé) sont copiées, dupliquées, publiées et propagées  autour de la planète (avec l’appui intéressé des media plus traditionnels qui servent ici de chambre d’écho).

Corporate Espionage
Via: Credit Score

D’accord me direz-vous, mais ce sont là des échanges entre diplomates, des images de bavure en temps de guerre et, bien que nous soyons concernés, il nous faut humblement avouer que nous sommes un peu dépassés par ce tintamarre politico-médiatique.

Nous trouvons également quelques uns à se féliciter de cette apparente transparence globale et à retrouver, ainsi et depuis le dernier Robin des Bois, un espoir de justice dans ce monde global déshumanisé 😉

Au delà de nos valeurs et de nos objectifs, il nous faut accepter de constater que cette réalité s’applique également à nos profils ainsi qu’aux données personnelles que nous acceptons de divulguer au bénéfice d’une hypothétique valorisation de notre image sur l’internet.

Ainsi, le réseau social vient compliquer la donne en nous donnant la possibilité de nous retrouver dans la même situation que les entreprises ou les Etats-Unis dans le cas de Wikileaks.

Les technologies 2.0 mettent tous les intervenants (entreprises, organisations, gouvernements, citoyens) sur un plan d’égalité quant aux risques qu’ils encourent à ne pas se soucier des stratégies de gouvernance de l’information qui les concernent.

Le maillon faible

Revenons à Wikileaks et s’il est vrai que, l’enregistrement des données (peu importe les fins), leur format dématérialisé, ainsi que les formidables facilités techniques offertes par le cloud computing ont largement contribué à ce que la « bombe » soit aussi « efficace », il ne faut pas perdre de vue que ce ne sont que des technologies !

Durant cette dernière décennie, nous avons vu, au travers des forums, des pages « geocities« , des blogs et de Myspace, puis des media et réseaux sociaux, l’homme prendre une place prépondérante dans un univers ou la technologie régnait en maître.

Pour ma part, je m’en réjouis mais avec ce rééquilibrage nécessaire (pourquoi laisser le débat et les choix aux seuls techniciens?), il est probable que beaucoup d’entre-nous se trouvent avoir accès à des données, des informations, dont nous ne percevons pas les enjeux ou les conséquences de leur divulgation (à moins d’une motivation idéologique, économique ou personnelle) .

No privacy on the Internet

Avec l’internet, il n’y a pas de secret chuchoté à l’oreille, le message est enregistré et prêt pour publication dès sa saisie et sans limite de temps ou d’espace SAUF à l’avoir décidé en préalable !

Il faut aller plus loin et utiliser les technologies dans ce qu’elles peuvent nous apporter de mieux dans le contrôle des données et des informations, mais pour ce faire il est nécessaire de mettre en oeuvre des politiques dictées par des stratégies réfléchies et réalistes.

A titre privé, le principe de précaution joue à plein (éviter les mésaventures) et une formation fait sens.

Apprendre les technologies 2.0

En effet, pourquoi le modèle 2.0, et notamment les réseaux sociaux, n’auraient pas besoin d’apprentissage contrairement à toutes les technologies jusqu’alors développées et utilisées par le genre humain ?

« Corporate Social Business », quelles perspectives pour 2011?


Jeremiah Owyang, analyste à Altimeter Group, nous livre dans les slides ci-après pourquoi et comment 2011 sera l’année de l’intégration des outils (media et réseaux) sociaux à des fins business.

Et s’il n’y avait qu’une slide à retenir, je cite le premier point de la slide 30 :

Gurus/Ninjas/Samurai need not apply!

On va passer aux choses sérieuses : ROI, etc..

A bon entendeur !

Personal branding, eReputation, ID numérique, .., so what ?


Avant de regarder ces initiatives sous l’angle de la gouvernance de l’information, il est important de s’adresser aux spécialistes pour mieux comprendre de quoi nous parlons.

Fort d’une consultation préalable du Blog de Fadhila Brahimi et d’une recherche « personal branding » sur Google me retournant Environ 4’820’000 résultats, j’ai choisi de retenir cette (ces) définition(s) :

« Le Personal Branding, qu’est-ce que c’est ?
Construire sa marque personnelle, explique Béatrice Cuvelier, « c ‘est mettre en œuvre une démarche qui prend en compte vos compétences, votre personnalité, vos qualités distinctives pour en dégager une identité unique.
Autre approche pour définir la marque personnelle, celle de Peter Montoya, le « pape » américain du Personal Branding : « Votre marque personnelle, c’est tout simplement l’idée claire, forte et positive qui vient immédiatement à l’esprit des personnes qui vous connaissent quand elles pensent à vous ».

Il y a également l’identité numérique, la mienne est représentée par ceci (cliquez ici pour créer la votre).
http://www.ikodz.com/search.php?ikodz=CE-1000-SZ

Quelles informations pour quelle marque ?

Nos amis américains, jamais à court d’idées ni de slogans, mais un peu à la traîne en ce moment en terme de croissance économique et de création d’emplois ont développé la promotion de l’entreprise individuelle, comprenez nous sommes tous (vous, moi, eux) des entreprises et devons mettre en place de stratégies pour nous « vendre » et avec le web 2.0, c’est si facile !

Plus facile à dire (encore que) qu’à faire, non ?

Ne soyons pas si candide, la plupart d’entre-nous n’ont pas envie d’être « marketés » ni de mettre en oeuvre une campagne d’autopromotion  des fins économiques et/ou sociales.

Pourtant, nous sommes si nombreux à utiliser quotidiennement les media sociaux, à partager des données et des informations sur les profils Facebook ou Linkedin, à pousser des messages sur Twitter, mais dans quel but ?

Il convient donc bien, à titre personnel, de décider a priori d’une stratégie qui consiste à :

  1. définir le(s) but(s) : emploi, mandats, rencontre, etc.
  2. décider du message
  3. préparer les contenus
  4. choisir les outils
  5. planifier et organiser les publications
  6. mettre en oeuvre les outils de mesure

Le personal branding, ce n’est que du marketing ! basé sur la publication de données personnelles !
n’est-ce pas Henri ?

Personal branding

Une démarche aléatoire sur un chemin semé d’embûches

A la différence des entreprises commerciales ou des organisations, peu d’entre-nous sommes au fait des techniques, sans parler des méthodes.
Il est clair que les offres de coaching ne manquent pas, mais sommes-nous certains de vouloir, de pouvoir, supporter, entretenir, surveiller et travailler quotidiennement à la valorisation de votre « image » numérique ?
Si nous le faisons « naturellement » dans la vie « réelle » à l’occasion de rencontres avec nos amis, nos collègues ou bien d’évènements ou de circonstances (recherche d’emploi), les outils à disposition sur internet dépassent nos prédispositions personnelles à la communication : ce sont des applications informatiques !

En effet, et sauf à avoir le contrôle absolu sur les données divulguées, il est est impossible, ou très difficile, de « rectifier » le tir en cas de besoin !

La gouvernance de sa propre information commence, comme pour les organisations, à évaluer la valeur de celle-ci au regard de ses objectifs et ce bien avant de publier les données.

Clip vidéo de  la campagne initiée par l’association belge GSARA, (groupe de réflexion sur l’audiovisuel) veut avertir que sa vie privée peut être exposée sur Facebook.

Pour beaucoup, le personal branding consiste probablement à ne pas laisser de traces sur les réseaux ou media sociaux et il est probable que, volontaire ou non, c’est une stratégie qui vaut la peine d’être évaluée !
A chacun de voir

Merci de votre lecture de cette note qui, je l’espère, contribuera un peu à asseoir ma réputation numérique et à bientôt !