Ce n’est pas un hasard si Yann Gourvennec nous propose une présentation de 11 constats sur les fondamentaux du RSE !
En effet, il y a peu, Gartner annoncait que, selon une étude, seuls +10% des réseaux sociaux d’entreprise pouvaient être considérés comme des réussites !
Les échecs sont à imputer à un manque d’objectif clair !
Pour le cabinet, le chemin vers le succès des plateformes sociales et collaboratives passe obligatoirement par un objectif qui sache répondre à 5 caractéristiques :
- Le « magnétisme » : Le but devrait naturellement inciter les gens à participer du fait du «ce que je vais y trouver ».
Les utilisateurs doivent saisir facilement son importance et la valeur de la participation. L’objectif doit avoir un sens pour les participants, et générer chez eux un besoin impérieux d’y participer.
Si vous devez investir beaucoup pour susciter l’intérêt des utilisateurs, vous avez choisi le mauvais objectif ! - L’engouement : Le but doit « parler » à suffisamment de personnes pour catalyser une communauté et offrir un haut niveau de contribution des participants.
Les meilleures communautés sont fortement déséquilibrées dans leurs approches bidirectionnelles, ce qui signifie que la collectivité contribue beaucoup plus aux échanges que l’entreprise.
Un objectif pertinent crée une richesse de contribution souvent inattendue. - La valeur pour l’organisation : Le but doit correspondre à un objectif « business ».
C’est la caractéristique «ce qu’il y a dedans pour l’organisation ». Choisissez des buts où la valeur pour l’organisation peut être clairement mesurée et partagée avec la communauté, c’est une source de motivation pour continuer à participer. - Un faible risque pour la collectivité notamment au regard de quatre types de risques:
- culturel : la culture d’entreprise n’est pas propice à la collaboration de masse.
- d’adoption : les employés ne seront pas enclins à collaborer sur ce sujet ou dans cette communauté.
- informationnels : l’information partagée de la communauté est de nature sensible (confidentialité).
- résultat : la communauté, malgré les interactions et les échanges, ne portera ses fruits.
- Anticiper l’évolution et le croissance de la communauté : Promouvoir des sujets sur lesquels vous et votre équipe pouvez construire. Evaluer les sujets au regard de leur interactions (complexité) et de leurs capacités à générer des résultats probants.
Découvrez le point de vue de Yan Gourvennec, tendance printanière et toujours très pertinente 😉
Ce sont ceux qui trouvent les réseaux sociaux géniaux et qui se réjouissent des initiatives et des projets « social business ».
On peux parfois les confondre avec les enthousiastes, catégorie dont ils constituent à mon avis un sous-groupe.
Ce sont ceux qui n’osent pas se montrer, qui ont peur de se distinguer et qui craignent par-dessus tout l’exposition.
Ils s’en moquent ! Ils ont d’autres choses à faire!
Le blasé est le plus souvent un « frimeur » désabusé ou un timide qui n’ose pas se l’avouer.
Il y a quelques jours, j’ai eu l’occasion de passer quelques heures dans une petite ville du pays basque côté espagnol, juste posée sur la frontière.
Le challenge ne s’arrête pas au type de management, car si l’écoute et la proximité permettent de mieux comprendre les sources de motivation des collaborateurs, il faut également les convaincre d’adopter la «même pratique» vis à vis des membres de l’écosystème que l’on souhaite motiver !