On parle de plus en plus de DYOJ (Design your Own Job) en même temps qu’on valorise le « work out loud » et il n’est donc pas étonnant de lire dans l’excellent papier How to love your job (even if you hate it) publié par John Stepper :
Yes, some jobs and some bosses are awful. And yes, work is different from pleasure. But you can create a more blended life, one that you find genuinely appealing and one that’s more fulfilling. It’s not just for those with certain skills, for the young, for the technology savvy, or for extroverts. It’s for everyone.
Compétence, autonomie et confiance sont fondamentales pour nous rendre « heureux », si ces trois désirs (besoins) sont satisfaits alors nous sommes motivés et productifs !
Nous sommes suffisamment créatifs (certaine plus que d’autres) pour trouver des « chemins de traverses », pour contourner des processus jugés lourds ou inutiles, pour imaginer des pratiques plus pertinentes.
Et pour vous ?
Je suis déjà souvent hors périmètre de mon job. Encore ce matin lorsque je demande des informations ou juste une réflexion à une assistante de direction; elle me demande « mais tu es missionné par qui pour faire ça? « . J’empiete sur son territoire j’ai l’impression 🙂 #patience
Oui c’est parfois le cas, il faut trouver des moyens de contourner les lourdeurs hiérarchiques et les « prés gardés » des petits chefs !! Patience et ténacité 🙂
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A mon avis, le metier de demain; c’est un domain de de discussion très large car avec les nouvelles techniques technologie et au vue des tendances actuelles il est difficile de savoir ce que demain nous reservera. Comme on dit qui vivra vera et wait and see
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