Les réseaux sociaux sont efficaces pour valoriser l’entreprise, si l’on sait s’en servir.


Nous sommes très nombreux à utiliser quotidiennement les réseaux et les médias sociaux pour échanger, commenter ou partager des informations, des avis, des recommandations, des images et bien d’autres contenus.

Nos échanges ne sont pas réservés à nos expériences privées, pas plus qu’à nos cercles familiaux ou d’amis.
Les réseaux sociaux sont témoins de nos vies et le volume des contributions (photos, vidéos, statuts et commentaires) sur Facebook et LinkedIn – pour ne citer que les plus connus – est impressionnant.

Les médias, surtout Twitter ou Instagram, ont pris eux aussi une importance réelle dans la diffusion des informations et ce quelque soit le sujet ou le domaine : sports, politique, économie, innovation, vente, évènements, par exemple.
Les entreprises ont bien compris l’opportunité que représentent ces outils de communication en terme d’exposition et de valorisation des produits, des services et des marques auprès des consommateurs et les équipes marketing se sont attachés à « défricher » ce nouvel eldorado tant prometteur pour le commerce.
Mais les acteurs des réseaux sociaux ne se limitent pas à des sujets parfois futiles et nombreux sont ceux qui s’intéressent de près ou de loin, au gré des circonstances, aux entreprises notamment en tant qu’employeur potentiel.

C’est donc toute la communication de l’entreprise qui bascule dans une nouvelle ère et les départements RH doivent suivre ou accompagner cette évolution.

Il s’agit pour l’entreprise de mettre en œuvre une stratégie au service de ses objectifs.
Ceux-ci peuvent être multiples et différents dans le temps, comme par exemple : entrer en contact avec des candidats, entretenir un « vivier » de talents, créer un lien avec des écoles ou des départements universitaires et identifier des talents en devenir, valoriser des profils très spécifiques informer des postes ouverts ou encore évaluer les compétences et les profils de certains, recruter des apprentis.

Les plateformes sociales sont très souvent utilisées pour le recrutement : annonces de postes, contacts directs ou encore « filtre » pour valider des curriculum vitae.
Mais en dehors d’une pratique très conventionnelle de « pêche aux candidats », les réseaux sociaux sont surtout intéressants pour être des espaces de communication ouverts et riches de pertinence et de profils intéressants.

C’est ainsi que la communication bidirectionnelle ou l’émergence d’un dialogue plus riche au sein des communautés oblige l’entreprise à mettre en œuvre des nouvelles pratiques au niveau de l’accueil des contributeurs et des messages ainsi que l’écoute de ce qui s’y commente et s’y échange.
Nous sommes 53% (Source : Kelly Global Workforce Index – Social Media and Technology (Novembre 2013)) à penser que les réseaux et les médias sociaux sont utiles pour partager avec des collègues ou des amis à propos d’une proposition ou d’un job.
Ces espaces – que sont les réseaux sociaux – sont peuplés d’individus et il est important de savoir s’adresser à chacun d’entre eux au mieux de sa singularité et de ses intérêts

Les réseaux sociaux mettent toujours en valeur des actions de communication plus directes et personnelles ce qui implique des efforts en termes de constance de la part des entreprises pour trouver – par les recommandations – les relais ou les ambassadeurs qui s’engagent avec elles.

Pour être efficace, il faut également savoir rester humble en plus d’être proche et contribuer à une proposition de valeur qui fasse sens pour les membres des réseaux auxquels l’entreprise participe.
Le sens est clef et tous les contenus pauvres de ce point de vue sont rapidement évalués comme sans intérêt, voire comme de la pollution numérique, et ignorés.

Nous sommes au cœur d’une transition par laquelle l’offre employeur (cf. l’excellent Marketing RH) va supplanter la petite annonce.
A la différence des outils disponibles et traditionnellement utilisés dans les processus de recrutement, les réseaux sociaux sont surtout efficaces pour renforcer une image, une réputation, et « donner envie » au 39% d’entre nous qui, selon Kelly, y cherchent des informations à propos d’une entreprise avant de se décider pour un poste

L’entreprise va ainsi mettre en avant ses atouts, sa proposition de valeur (vision, mission, etc.) au travers de communautés et d’espaces dans lesquelles sont réunies des personnes potentiellement intéressées par sa communication et les échanges qu’elles proposent autour de projets, d’idées ou d’évènements.
Les départements RH peuvent également y valoriser des initiatives « de responsabilité sociales » ou de développement tout en communicant sur les opportunités et les postes ouverts dans l’entreprise.
A défaut d’une présence de qualité, ce qui signifie notamment qu’elle reflète ou témoigne de la réalité de l’entreprise, la confiance ne sera pas au rendez-vous et le risque d’être « pénalisé » et écarté par beaucoup de profils qui auraient pu l’intéresser est important.

Les réseaux exigent rigueur, transparence et simplicité car les contacts et les échanges se font entre pairs et en dehors du « contrôle » des initiateurs des pages ou des communautés et des émetteurs de messages.
Il est donc important de savoir écouter ce qui se dit (ou pas) à propos de votre entreprise, vos concurrents, vos marchés, bref votre réputation.
Des outils existent pour aider à cette écoute, mais rien ne remplacera les actions et les contributions de vos collaborateurs et des membres des communautés ou des groupes que vous avez lancés.

blog

Faute de moyens et de ressources, il est parfois difficile d’être sur tous les fronts et d’assurer une présence efficace.
Dans la palette des outils et des espaces disponibles, les équipes ressources humaines vont privilégier ceux qui sont leur sont le plus utiles et veiller à une répartition pertinente des moyens.
Face aux «job boards » et aux sites de recrutement classiques, les médias et les réseaux sociaux privilégient clairement la qualité à la quantité. Mais trop de pages d’entreprises sur les réseaux sociaux (quand elles existent) ressemblent encore à des pages web d’auto promotion alors que la création de groupes de discussion et la publication d’articles est si facile et porteuse d’audience.
Il s’agit pour les RH d’utiliser les outils les plus pertinents tels que les espaces « internes » du type blog qui sont plus faciles à maîtriser que les réseaux professionnels type Linkedin ou Viadéo qui requièrent la présence d’animateurs dédiés : les « community managers ».

Dans l’organisation des échanges, il est souvent contre performant de ne pas écouter et il est toujours important de valoriser des contributeurs tiers, des employés par exemple ou des ambassadeurs.
Le monde des médias et des réseaux sociaux est terriblement exigeant en termes de transparence, de bienveillance et la médiocrité est rapidement punie.
Ces plateformes sont des supports de réputation et d’image au service d’une approche rigoureuse, réaliste et humaine, dont les entreprises de demain – y compris les startups – usent déjà à très bon escient.

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Ce billet a été publié dans le numéro daté d’août-septembre 2014 de HR Today.

Social business : le nécessaire accompagnement des collaborateurs


Depuis plusieurs mois, selon les retours d’expérience et les observations que nous faisons au gré de l’avancement des projets, j’insiste fréquemment sur l’importance de l’accompagnement des collaborateurs.

Le facteur clef dans ces projets « social business », et nombreux sont ceux qui l’ont bien compris, est l’ADOPTION !

Nous avons eu l’occasion d’en parler avec quelques entreprises en septembre à Paris et la maturité de la réflexion sur le sujet a, semble-t-il, gagné en importance ces derniers mois.

Il y a bien sur les projets qui « ne fonctionnent pas » ou pas bien au regard de leurs initiateurs et sponsors, mais il y a surtout les employés qui pour la plupart, regardent ces initiatives avec circonspection et attentisme.
A leur décharge, on rappellera le nombre de « nouvelles applications » et autres projets métiers présentés comme « décisifs » qui ont connu retards, ajournements ou plus grave abandons dans les entreprises tout au long de ces quinze dernières années.

Aujourd’hui, le premier réflexe est de parler formation !
Ce pourrait être une bonne idée si derrière l’appellation, la pratique avait évolué.

En effet, les besoins en formation à l’utilisation des outils sont toujours réels, mais l’essentiel pour l’ensemble des employés tient plus de l’accompagnement pour un meilleur usage que des slides (ou manuels) remplis de copie d’écrans et d’instructions.

Le parcours du « collaborateur engagé » est un parcours singulier, personnel mais il peut être, selon moi, « schématisé » autour de quelques étapes incontournables.

social_business_employee_journeyTout au long de ce parcours qui inévitablement pas de l’information quant à l’existence de plateformes, d’espaces ou de solutions jusqu’à la déception (voire la résignation), notre cheminement passe invariablement par :

  • L‘information de l’existence de la plateforme ou d’une nouvelle communauté ou espace ;
    elle est le fait d’une action de communication interne information_socbizet/ou du management ou bien encore des collègues ou réseau professionnel.
    C’est une étape dans laquelle un accompagnement peut-être prévu, aussi simple et léger soit-il côté dispositif, pour éclairer (voire rassurer) pour ce qui est des questions de gouvernance opérationnelle et du contexte d’utilisation de la plateforme. C’est le bon moment pour décliner la stratégie qui a conduit à la mise en place ainsi qu’aux objectifs.
  • La découverte est la première immersion du collaborateur dans ce nouvel environnement ;decouverte_socbiz
    elle est une étape initiatrice et essentielle dans le processus d’adoption au coeur de l’engagement. C’est notamment pourquoi un soin particulier doit être apporté dans l’offre et le dispositif d’accompagnement : il serait dommage de décevoir si rapidement ou simplement ne pas donner envie et ne pas créer un climat de confiance.
  • La participation est naturellement l’étape suivante même si pour certains la découverte a été participation_socbizextrêmement brève. C’est un moment clef car il s’agit pour le collaborateur de chercher et de découvrir, en suivant les discussions, les échanges voire certains profils, quelle pourrait être la proposition de valeur pour lui et selon les cas de le pousser à aller plus loin que la « lecture ». A ce stade, proximité (connivence) et écoute sont au coeur de la pratique sur le terrain de l’accompagnement.
  • La contribution ou participation active est la caractéristique du collaborateurcontribution_socbiz
    engagé : il commente, poste, produit et partage des contenus dans les espaces dédiés et met ainsi en valeur sa pertinence. Il dispose d’un profil riche et bien renseigné (tagging). A ce stade le collaborateur a parfois besoin d’accompagnement pour préciser sa stratégie personnelle, notamment en terme d’exposition, et les bénéfices qu’il peut espérer de son engagement.
  • promotion_socbizLa promotion est le stade « ultime » de l’engagement, le « graal » de toute stratégie de « social business ».
    Le collaborateur est actif et il fait la promotion de la plateforme ou de la communauté, ne serait-ce que pour son bénéfice personnel. Il est, à ce stade, un pilier de la vitalité et de ce fait, il est plus que jamais nécessaire de l’accompagner, de lui proposer des actions ou des messages, de l’assister dans le recrutement d’autres contributeurs ainsi – entre autres – que dans la pratique de valorisation de ses pairs.
  • deception_socbizLa déception : malheureusement, elle est inévitable et il faut mieux s’y préparer ! Elle fait partie d’un cycle à l’instar de la disparition de certaines communautés liées à des projets. La déception est à prendre en considération quelle qu’ait été la durée des autres phases, mais il est acquis que plus elles ont été courtes plus le mal est profond et qu’il est « vital » d’avoir une stratégie et un dispositif d’accompagnement extrêmement pertinent et facile à mettre en oeuvre.

Faute de prendre en compte les réels besoins de vos collaborateurs (qui ne se limitent pas, loin s’en faut, à des considérations techniques ou d’interface [IHM] d’applications), notamment en termes de valeur (What’s In It For Me), vous risquez de passer à côté de l’essentiel !
A moins de consacrer l’énergie et les ressources nécessaires à la création de l’accompagnement dont je pense qu’il doit constituer un « chantier » ou une brique à part entière de tout projet social business (RSE, intrant 2.0, Digital Workplace, etc.).

Et selon vous ?

Social business : le mieux est parfois aussi l’ennemi du bien!


On  est très nombreux à avoir fait l’expérience d’interfaces applicatives dans lesquelles il est parfois difficile de trouver l’information ou pire la fonctionnalité dont on aurait besoin.

Avec le web 2.0 et les nombreuses formations en « usability » et autres sciences du comportement (Cognitique) des utilisateurs, on pouvait penser que le pire était derrière nous !
Hors, il semblerait que le mal se situe également ailleurs que dans l’interface !

Hier, je participais à une journée organisée par le Club des utilisateurs SharePoint de Suisse romande à Genève. Ce fut un excellent moment de convivialité et de discussion autour de présentations intéressantes (projets utilisateurs et bonnes pratiques).
Bien entendu, il ne peut pas y avoir de réunions de ce type de club sans invitation faite à l’éditeur afin qu’il précise ou dessine la « roadmap » du produit à moyen terme.
Chez Microsoft, on ne communique plus de roadmap, en tout cas pas à cette occasion.
Par contre, on se délecte d’un discours marketing qui offre l’opportunité de recenser tous les « buzzwords » du moment et qui en plus réussirait presque à faire passer des vessies pour des lanternes!

Hier, nous avons bien compris le virage « tout cloud » proposé par l’éditeur et on a tenté d’imaginer la pertinence des solutions proposées (si cela vous intéresse, vous trouverez facilement le détail de ces offres sur le site de Microsoft).
Au delà de ces déclaration bien huilées et appuyées par des slides (format 16/9) diffusées à partir d’une tablette Surface 2 et un projecteur qui ne supportait que la format 4/3, beaucoup de participants n’ont pu que constater la réalité de la « fracture » existante entre les outils en production et la vision de l’éditeur.

science-fiction-thinkstock-167172846-617x416Tout cela pour illustrer une fois de plus le manque de pragmatisme et ses conséquences désastreuses pour les équipes IT mais aussi pour les porteurs de projets numériques.
La pression qu’induit automatiquement ces annonces et ces présentations est inutile et contre productive !
Qu’un expert de l’entreprise numérique ou un spécialiste de l’IT dresse des perspectives en terme de besoins et de solutions pour demain, tout le monde dit BRAVO !
Que des responsables techniques et commerciaux viennent nous servir un avenir radieux au travers de solutions qu’ils décrivent (mais ne peuvent pas montrer en démo) tout en nous expliquant que les roadmaps sont confidentielles, c’est se moquer de leurs clients et des autres.

Les initiatives qui réussissent à faire évoluer l’entreprise dans le monde numérique sont celles qui sont adaptées, dont le déploiement est maitrisé, pour lesquelles les objectifs sont clairs et dans lesquelles la proposition de valeur est explicite !

A force de surenchère sur les versions et les fonctionnalités, les éditeurs sèment la confusion et le trouble.

écoute-clientHier, les démos n’ont pas bien fonctionné parce que la connection wi-fi était mauvaise et ce n’est pas une exception !
Les présentations n’étaient pas affichées d’une manière satisfaisante parce que le matériel n’était pas adapté !

Les clients n’ont entendu parler que « cloud » et encore « cloud » alors que l’on connaît la frilosité des entreprises suisses (et autres) à héberger leurs données dans des data centers aux Etats-Unis !

On en peut pas « rêver » d’une construction de l’entreprise de demain sans tenir compte de la réalité de ses contraintes, notamment en ce qui concerne son infrastructure de gestion de l’information et de communication.

Ce manque de pragmatisme est source d’incompréhension et de conflits entre les équipes techniques et les  tenants d’une évolution rapide. Le rôle des éditeurs est de les accompagner, sans trop en rajouter !

Hier, nous avons eu droit à une parfaite illustration de l’autosuffisance érigée en technique marketing et de la non écoute des clients.
Dommage pour les clients, mais aussi pour les organisateurs, qui méritaient mieux, plus simple, plus proche, plus pertinent car plus utile !

Organisation : la faillite du système pyramidal


rivalitésOn lui a prêté tant de vertu qu’aujourd’hui certains ont encore du mal à en voir les limites.

En fait, il n’y a qu’un domaine dans lequel la hiérarchie a montré une certaine efficacité : l’organisation militaire !
Et ce n’est pas un hasard, le système pyramidal est construit sur un rapport de force dont les ressorts ont été tantôt le pouvoir, tantôt l’argent, tantôt l’opportunisme et souvent le tout à la fois.

La hiérarchie, telle qu’on la connaît, est essentiellement concentrée sur le contrôle des subordonnées et la « répression » des tentatives d’autonomie.
Elle ne supporte pas les écarts quand bien même ils seraient pertinents ; elle a pour objet sa propre permanence au détriment du reste.

Au niveau politique, rien ne va plus !
Crise économique, crise de régime, crise de légitimité, crise humanitaire, c’est selon le pays et ses représentants.
Et ainsi les équipes se remplacent, se succèdent et parfois se mélangent au gré des élections sans toutefois porter de véritables et salutaires changements depuis au moins deux décennies.

Il est un pays qui échappe pour le moment à cette désillusion collective, c’est la Suisse !
Non pas que la hiérarchie y soit absente au niveau politique, mais peut-être parce qu’elle est confrontée à un vrai « contre pouvoir », celui du peuple appelé à s’exprimer régulièrement sur des sujets et/ou des propositions portés par les partis politiques, les lobbys et autres « activistes ».

Pour ce qui est des entreprises et plus généralement des organisations, le constat d’échec est probablement encore plus préoccupant.

Les « élites » économiques sont rompues aux rapports de force et aux alliances de connivence, elles « roulent » pour elles.

L’absence de « contre pouvoir » n’est pas un problème, si tant est que les règles sont claires et que la transparence est de mise.

Mais, il ne faut pas rêver  !

Le pouvoir économique et bien entendu les dirigeants d’entreprise sont au coeur d’un paradoxe : trouver des relais de croissance pour conserver les rênes du pouvoir.
Hors, ces fameux relais de croissance tant espérés, convoités, idéalisés, sont inimaginables (ou presque) du simple fait des structures de pouvoir qu’ils perpétuent.

Alors que l’innovation est souvent dans la rupture et dans l’anticipation (notamment des usages), les tenants de l’organisation pyramidale oeuvrent en permanence à museler les initiatives et à contrôler l’expression.

Le monde du management vit en vase clos, fort de certitudes qu’il ne partage plus avec grand monde !
C’est parfois une « grande gueule » qui répète à l’envie son crédo volontariste et ses promesses (chiffrées) rarement tenues.
Il est conservateur pour lui même et amateur de risques pour les autres.

Avec les réseaux, cette organisation montre à quel point elle n’est plus adaptée !

competition-cartoonRigide quand on a besoin d’agilité, obtuse quand on valorise l’écoute, péremptoire quand l’échange est clef ou encore trop conservatrice, la pyramide organisationnelle chère à beaucoup de dirigeants doit se transformer.

Les réseaux (pas de complices ou de connivence) imposent de la transparence pour une vraie légitimité et de la pertinence pour une reconnaissance objective.
Mais, ils sont également des lieux de pouvoir et d’influence !

L’entreprise devrait valoriser des structures opérationnelles plus hybrides, dans lesquelles une part beaucoup plus importante est donnée à l’initiative personnelle, tout en restant une instance d’arbitrage et de décisions.

L’instruction et la concertation dans la prise de décision font partie des bonnes pratiques mais elles ne doivent pas être confondues avec la « mutualisation » des responsabilités.

L’entreprise doit se doter de manager responsable qui savent décider et qui pour ce faire savent se donner les ressources en termes de talents et les moyens en termes de communication.

Et ainsi selon Darwin dans la théorie de l’évolution par la sélection naturelle qui ne parle de la loi du plus fort, mais de la survie des mieux adaptés, le concept de «survival of the fittest».

MQ Social software : Gartner consacre les majors !


Après Forrester, c’est au tour de Gartner de publier (en date du 3 septembre) son Magic Quadrant for social software in the workplace et force est de constater que la part belle et donnée aux « majors » de l’édition et que le seul « pure player » y figurant est Jive !

Plusieurs nouveaux apparaissent parmi les « niches players » comme Huddle ou Igloo, deux solutions très orientées collaboration autour de documents et de contenus.

Les français regretteront la « disparition » de bluekiwi qui visiblement ne remplissait plus les critères dont je vous livre copie ci-après

Bonne lecture !

GARTNER-MQ_ social_software_0914

 

 

To be included in this Magic Quadrant, a vendor must also meet the following criteria:

  • Worldwide, the vendor must have at least 80 employees in its organization dedicated to developing, marketing or supporting the relevant social software product.
  • In its latest fiscal year, the vendor must have generated at least $12 million in revenue that can be attributed exclusively to the relevant product.
  • The vendor must have among its paying customers at least 20 organizations with active deployments for at least 5,000 users (excluding freemium and open-source users).
  • At least 300,000 named users (or equivalent) among all the paying organizations must be licensed to use the vendor’s relevant product and be actively using it (excluding freemium and unsupported open-source users).
  • The vendor must have a presence in at least three geographic regions, or at least 20 partners with some personnel dedicated to selling or supporting the relevant product.