[Ecole 4.0] L’enseignement en mode hybride ?


La prochaine révolution de l’enseignement est en marche et aujourd’hui comme le souligne Xavier Comtesse : l’intelligence artificielle est en train de tout bousculer y compris les modes d’apprentissage.

La situation sanitaire et ses conséquences ont (re)mis sur le devant de la scène médiatique l’enseignement à distance. Pratiqué depuis longtemps dans de nombreux pays « pionniers »du fait de la dispersion des populations, mais également en Occident pour répondre au besoin de parents ne souhaitant pas déléguer l’apprentissage de leurs enfants à une institution publique ou privé, « l’enseignement par correspondance » pourrait ainsi sortir de son statut de pratique marginale.

Le débat « présentiel » versus « distanciel » est à la une de tous les médias. Focalisée sur le respect de l’application des gestes barrières pour lutter conter la pandémie, la discussion prend des allures d’échanges dignes du « café du commerce » tant elle est éloignée des questions essentielles et des opportunités qui se sont ouvertes sous la contrainte du confinement et de la fermeture des établissements scolaires pendant ces quelques semaines.

Aujourd’hui, les expériences faites avec plus ou moins de bonheur pour les directions de l’enseignement, les enseignants ainsi que les étudiants (et élèves) ont l’avantage de pouvoir servir à dessiner l’enseignement de demain.

Mais comme le constate avec dépit Marie-Christine Levet dans une interview au magazine Le Point : »On nous a servi une télé scolaire des années 1960 ! » Alors, il est temps que les retours d’expérience des uns et des autres soient valorisés dans une discussion stratégique de ce qui pourrait être l’école de demain au regard des avantages indéniables de l’enseignement numérique.

Si d’aucuns considèrent que plus vite on en revient à ce qui existant avant cette crise, mieux cela ira, d’autres (dont j’espère qu’ils sont nombreux) jugent insuffisante et inquiétante la piètre adaptation du monde de l’enseignement au numérique.

Les solutions existent et leur mise en oeuvre accélérée ces dernières semaines, sans autre objectif que d’assurer une forme de service minimal de cours (ou de suivi) en ligne, devrait permettre d’innover et de proposer une nouvelle offre basée sur les meilleures opportunités proposées par le numérique. 

L’école de demain ne se fera pas toute seule, pas plus que la transformation des entreprises n’est le fait d’un seul groupe d’acteurs, et tous doivent participer à sa construction :

  • les représentants et les responsables des systèmes d’enseignement,
  • Les architectes des systèmes d’information des organisations académiques,
  • Les enseignants,
  • Les étudiants,
  • Les parents d’élèves.

Pour anticiper l’Ecole 2.0, la nouvelle mouture de l’offre académique, les responsables actuels doivent décider des orientations pour demain et cela ne peut pas se faire qu’à partir d’une approche basée uniquement sur une réflexion autour de la pédagogie.

« Tout enfant a le droit d’aller à l’école et d’avoir accès à des connaissances qui l’aideront à préparer sa vie d’adulte » Article 28 de la Convention des droits de l’enfant. Et c’est bien au service de ce droit que la technologie est utile au quotidien. 

Aujourd’hui les architectes de systèmes d’information savent dessiner des offres de services techniques sécurisés, contrôlés, automatisés et disponibles en tout temps.

Les enseignants et les responsables académiques doivent, ensemble, imaginer les meilleurs cas d’utilisation de ces services, quitte à revoir un peu ou beaucoup certaines pratiques, pour préparer une réponse pertinente aux besoins des étudiants et des parents d’élèves.

Le système actuel, uniquement basée sur la présence des élèves et des enseignants dans un même lieu est un héritage utile pour la socialisation, mais qui ne saurait représenter une réponse universelle pour l’enseignement.

Il y a déjà beaucoup de retard dans ce domaine et ce ne sont pas les tableaux connectés qui le combleront tandis que les incertitudes actuelles doivent servir de déclencheur à cette réflexion, à moins que, par peur de l’avenir, le monde de l’enseignement ne fasse l’autruche et assiste avec une certaine fatalité à la disparition de sa noblesse et de la reconnaissance qui lui est encore liée.

Qu’il soi bien clair, il n’est pas l’heure de parler des outils, ni de la mise à disposition d’ordinateurs ou de tablettes aux étudiants, mais de préparer les premières étapes d’un système d’enseignement plus souple, ou le « présentiel » et le « distanciel » serait les deux piliers d’un service agile et pertinent pour le bien des enfants.

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Le gaspillage insensé de la ressource humaine de plus de 50 ans !


Article publié dans le numéro de décembre de [Facteur H]

Ce n’est pas un phénomène nouveau et il semble que cela n’intéresse pas grand monde malgré les souffrances et les nombreux dégâts induits pour l’économie, les organisations et bien entendu les personnes.

Depuis les années 1990, Les entreprises dans les économies développées ont pris le virage de l’approche financière en consacrant le gaspillage de la « ressource humaine » comme un outil de bonne gestion.

Cette vision de l’entreprise, jugée pour sa capacité (ou pas) à générer une croissance annuelle à deux chiffres et à verser régulièrement des dividendes significatifs, est largement appliquée dans le secteur des services, et les « seniors », c’est à dire les employés de plus de 50 ans, y sont souvent parmi les plus rapidement « sacrifiés » sur l’autel de la performance économique.

Orthodoxie de la gestion par réduction des coûts

En fait et à de rares exceptions près, la vertu en matière de gestion financière est la réduction des coûts. On aurait pu penser que la maîtrise de ces coûts pourrait suffire, mais nous sommes peut-être trop naïfs !

Le maintien, à tout prix, d’une rentabilité acceptable par les marchés a conduit tout naturellement les directions financières à s’intéresser de près aux coûts les plus importants, et bien entendu à la masse salariale.

Il est plus facile et très rapide de réaliser des économies en « éliminant » les gros salaires, mais il est encore plus rentable de tailler dans le « gras », c’est à dire la masse des employés globalement mieux payés que la moyenne et dont le coût en termes de charges sociales est également plus élevé : les plus de 50 ans !

En fait de management, la maîtrise de la fonction tri dans un état ou une liste MS Excel, dont sont exclus les membres du C level (ou du COMEX) et les « copains », devrait largement suffire à construire une proposition acceptable par tous ceux qui ne sont pas directement concernés.

Contrairement à toutes les professions de foi et autres déclarations, la réalité est que les plus de cinquante ans sont plus exposés aux licenciements économiques que les plus jeunes.

Les responsables d’entreprise vous diront que l’âge n’y est pour rien (mon œil !) mais que la réalité économique et l’évolution des marchés font que l’entreprise doit privilégier – dans l’exécution de sa vision – des collaborateurs dynamiques et engagés, formés aux dernières méthodes et agiles.

Le senior : une variable d’ajustement ?

Aujourd’hui et peut-être plus que jamais, le senior risque de se voir considéré avant tout comme une « variable d’ajustement » au même titre que les stocks, les outils et les investissements.

La gestion des ressources qu’elles soient humaines ou matérielles semble peu s’embarrasser de considérations autre que comptables pour répondre aux pressions de toutes sortes auxquelles les entreprises sont soumises.

Dans une vision « réactive » de l’entreprise, il est inévitable de voir certains faire feu de tout bois dans une perspective de court-terme.

Aurait-on oublié que la proposition de valeur est au centre de la performance économique et que des pratiques même rigoureuses en matière financière ne sauront jamais la remplacer pour assurer la pérennité des organisations commerciales.

Il est surprenant de constater à quel point la gestion des profils des «seniors » est souvent, contrairement aux allégations des uns et des autres, exempte de rigueur.

La pression est-elle si forte que le bon sens n’a plus droit de citer dans les conciliabules des dirigeants d’entreprise ?

Comment ces managers formés aux différentes techniques de l’évaluation comme préalable à la prise de décision en sont-ils arrivés à ne considérer le facteur humain que sous une approche chiffrée ?

Une absence d’évaluation légitimée par l’urgence ?

Le licenciement est un choc d’une violence inouïe pour tout à chacun et c’est aussi le cas pour les seniors dont la plupart ont grandi dans un monde où la fidélité à l’employeur ainsi que la confiance allaient de soi.

Mais il est devenu, semble-t-il, difficile de gérer efficacement avec des grands principes et ces dernières années ont sonné pour beaucoup d’employés le glas de leurs utopies ou de leurs réflexes de loyauté et de bienveillance.

Au delà de la déception, les seniors se voient éjecter sans peine ni ménagement d’un système économique à la réussite duquel ils ont largement contribué.

Bien évidemment, la rémunération est la principale contrepartie de cette contribution et de l’engagement des employés, mais quels qu’en soient le montant et les modalités, elle ne justifie pas – pour le collaborateur ou pour l’entreprise – la mise à pied sans une instruction objective préalable de chaque cas.

L’absence d’évaluation des potentialités, des réels apports et des réalisations, en préalable à un licenciement « économique » est une totale stupidité.

Une gestion fébrile, empreinte de lieux communs et source de gaspillage.

Le « senior » est condamné sans autre forme de procès à l’occasion de restructurations ou simplement de tentatives d’adaptation à la demande d’actionnaires toujours gourmands (nos fonds de pension) et de dirigeants–vassaux sans vision ni leadership.

On saura, le cas échéant, mettre en avant la rigidité dont « le condamné » fait preuve, son manque de dextérité dans le maniement des outils informatiques, son regard critique (avez-vous remarqué combien une question à propos d’une initiative ou d’un nouveau processus est considérée comme négative (critique) si émise par un senior ou positive (enthousiasme) par un junior ?) etc.

On saura aussi mettre en exergue ses contraintes liées à sa vie sociale (famille, associations, etc.), son besoin de repos et surtout son coût « exorbitant  charges comprises ».

Par contre, beaucoup oublieront de mentionner ses atouts et de faire une juste balance !

Face à cette tendance, les départements RH se doivent d’aborder cette question avec pragmatisme, humanisme et créativité.
On aimerait les voir sortir de leur rôle traditionnel et convenu de gestionnaires des recrutements, de la paie, des contrats, des formations et parfois des carrières pour les découvrir en stratèges de la gestion de la ressource humaine.

On leur rappellera à l’occasion que les « seniors » ont aussi des atouts qui méritent de figurer au cœur de la stratégie d’une entreprise.

Généralement, ils aiment transmettre, ils sont plus agiles et souples (notamment en termes de temps de travail) que certains ne le pensent, ils sont plus rapides dans l’exécution du fait de l’expérience, ils savent écouter, ils ont de la méthode et de la créativité et enfin ils savent prendre du recul et ajouter de la perspective aux réflexions.

De surcroît, il est difficile de comprendre pourquoi les entreprises choisissent de se séparer de ceux qui connaissent son histoire, sa culture, ses marchés, ses clients donc son identité alors que tout le monde sait qu’il est plus aisé de bâtir des stratégies pertinentes au service d’un avenir conquérant, ou simplement une défense des positions difficilement acquises, quand on sait d’où on vient !

cv_seniorBeaucoup d’analystes mettent en exergue l’expérience client et il n’y pas besoin d’être titulaire d’un MBA de la meilleure université du monde pour reconnaître que cette expérience est intimement liée à la relation avec l’entreprise, sa proposition de valeur (produits ou services) et ses employés et que quand ceux-ci quittent l’entreprise, c’est la qualité de l’expérience de certains qui en pâtit !

Il est donc plus que temps d’arrêter ce gaspillage et de travailler avec méthode et objectivité aux conditions de réussite de l’entreprise de demain dont on a du mal à imaginer qu’elle n’agira qu’en réponse aux « caprices » de ses actionnaires.

D’autant plus que l’évolution de la structure de la « main d’œuvre » est largement conditionné par cet état de fait et si aujourd’hui plus de 34% des travailleurs ont un statut d’indépendant, ils devraient être plus de 50% en 2020 !

Etes-vous prêt à affronter cette nouvelle donne ?

Sans réel leadership à la tête des entreprises, c’est toute la ressource humaine qui est généralement dévaluée et les « seniors » trop souvent soumis au stress d’un licenciement annoncé et oubliés par des dirigeants sans vision autre que celle des chiffres du « quarter » : un non sens économique dans un environnement qui change très vite et dans lequel la chasse aux talents sera beaucoup plus difficile demain!

 

Travail : êtes-vous plutôt analogique ou numérique ?


La transformation digitale des organisations est le sujet privilégié par les rédactions, les blogs et presque le commun des employés.
S’il est vrai que les entreprises ont fort à faire pour s’adapter à la réalité d’un monde numérique, qu’en est-il des collaborateurs ?

Humanity is the killer appEn effet, l’évolution d’une entreprise ne peut se faire sans son « équivalent » au niveau du quotidien de l’employé.

Hors depuis plusieurs années, on a pris pour argent comptant le fait que les employés avaient une « maturité numérique » réelle du simple fait qu’ils avaient, pour la plupart, adopté la tablette, les téléphones intelligents et les applications qu’ils utilisent au quotidien avec plaisir, voire parfois avec avidité.

Mais, la maturité numérique des individus (Y generation inclue) n’est pas celle qu’on aimerait croire et le succès des apps est, pour la plupart, dû à un business model largement basé sur la désintermédiation synonyme d’autonomie et d’économie !

Et ce que l’entreprise entreprend – en matière de transformation digitale – ne répond pas forcément, ni directement à ce type de proposition de valeur !

Alors, pour vous aider, prenez le temps de lire les assertions ci-après et d’y apporter la réponse qui vous caractérise le mieux, elles pourraient vous aider à évaluer votre propre maturité numérique au travail !

  • Le terme « analogique » a-t-il une signification pour vous ?
  • Transmettez-vous des documents ou des liens dans les messages ?
  • Avez-vous une taxonomie personnelle ?
  • Imprimez-vous vos emails ?
  • Imprimez-vous les documents ?
  • Préférez-vous une relation de travail « one to one » ?
  • Craignez-vous de partager « publiquement » vos idées, vos remarques ?
  • Utilisez-vous un cahier ou un bloc pour la prise de notes en réunion ?
  • MindMap est-il selon vous un jeu de cartes ?
  • Utilisez-vous la vidéo pour vos messages ou annonces ?
  • Avez-vous paramétré des « périodes » – ne pas déranger – pour votre confort ?
  • Répondez-vous directement par email à une question concernant un sujet objet d’une discussion dans une communauté ?
  • Avez-vous des difficultés à supprimer des messages, des contenus, dont vous jugez qu’ils ne vous seront pas utiles ?
  • Utilisez-vous massivement le « tagging » ?
  • Travaillez-vous à distance (télétravail par exemple)
  • Avez-vous une activité soutenue sur les réseaux et médias sociaux ?
  • Avez-vous créé un profil LinkedIn à la demande de vote employeur ?
  • Parlez-vous de votre travail sur votre profil Facebook ?
  • Pour vous Tesla est une marque de pâte à tartiner ?
  • Protégez-vous vos données en ligne ?
  • Avez-vous pris des initiatives pour faciliter l’évolution numérique de votre quotidien au travail ?
  • Selon vous la digital work place est un gadget de consultants ?
  • Pour vous l’expression « knowlegde worker » ne veut rien dire au quotidien ?
  • Selon votre fonction, le client n’est pas ou pas du tout important à vos yeux ?
  • …..

Pour en reparler …..

[Transformation Digitale] Pourquoi l’humain est-il l’épicentre ?


Rien ne sert de courir après ou devant la technologie si la stratégie n’a consacré l’humain au coeur de la transformation digitale.

Brian Solis le rappelait début mai à Londres

In the age of machines, humanity is the killer app

Sophie Galoo le rappelait fin avril dans l’édition française de HBR, mettant ainsi en exergue quelques chiffres significatifs de la dernière étude produite par ADP.

Les participants à la formation « Je Suis Digital » et beaucoup parmi les personnes que je rencontre l’expriment également, chacun à sa manière : il n’est pas de réelle transformation digitale sans l’homme !

Humanity is the killer app

Et dans le monde de l’entreprise, une question vient immédiatement à l’esprit : mais ou sont les RH ? Que font-ils ? pourquoi ne les entend pas plus ?

Et pendant ce temps, les entreprises recrutent leur nouvel atout maître le CDO, comprenez le Chief Digital Officer tandis que d’autres rêvent d’un indice de digitalisation des entreprises (rien à voir avec la prise de température telle que pratiquée encore à la fin du siècle dernier !), comprenez la mesure de la maturité des entreprises dans le processus d’évolution autour des questions et des enjeux du numérique !

Le « Chief Digital Officer » est présenté depuis l’article de Wired en 2014 comme « l’homme (ou la femme) clef de la transformation numérique de l’entreprise ».

Tous les CDO confirment d’ailleurs que le DRH est un allié indispensable

affirme Emmanuelle Delsol dans un article intitulé Un Chief digital officer pourquoi faire
En fait, le CDO est à la C suite, la caution numérique dont ils ont besoin pour continuer à donner le change alors que trop souvent ils sont dépassés par les questions et les choix inhérents à une stratégie digitale.

Si le CDO est clef aussi pour le CMO (dont Gartner constate qu’il est « snobé » par l’IT) et que certains n’hésitent pas à voir « reléguer » à un rôle plus opérationnel, quelle est sa place dans l’organisation ?

Certains prétendent que le leadership sur le business et la technique peut permettre au CDO de prétendre demain à conduire la stratégie de l’entreprise !

Possible, mais la question de la place de l’humain n’est toujours pas posée d’une manière franche, ni sans complexe, ni arrière pensée.

Alors, amis des ressources humaines, permettez-moi de vous poser quelques questions ?

  • Considèrez-vous votre rôle comme avant tout comme uniquement technique (recrutement, contrat, formation, plan de carrière)
  • Pensez-vous mériter une place dans la C suite ?
  • Etes-vous engagés dans les processus de transformation digitale ?
  • Comment voyez-vous évoluer votre rôle dans les prochaines années ?
  • Seriez-vous intéressés à prendre « le lead » sur les questions de transformation digitale ?
  • Avez-vous une approche plutôt ressources ou plutôt humaine ?
  • La capital humain de l’entreprise représente-t-il, selon vous, sa principale richesse ?
  • Où est la principale perturbation, dans le digital ou dans la difficulté de l’entreprise à synthétiser sa proposition de valeur pour elle et les employés ?

Merci d’y apporter (ou pas) des réponses selon que vous êtes engagés (ou non) !

Merci aussi de mentionner toutes les questions auxquelles je n’ai pas pensé 🙂

[Entreprise 2.0]Transformation digitale, deux pas en avant, …….


Le rendez-vous annuel que nous propose début février Björn Negelmann et son équipe de Kongress Media se penchera cette année sur les étapes de la transformation digitale.

Enterprise 2.0 SUMMIT 2015 sera l’occasion d’entendre les retours d’expérience de La Poste, Lippi, Technip ou encore AXA, Schneider-Electric, Firmenich ou Continental AG pour n’en citer que quelques-uns.

La diversité des profils, des cultures, des objectifs et des stratégies de ces entreprises augure d’un bon cru pour cette édition 2015.

cbc227bd10Au delà des présentations et discussions en pleinière, trois « master class » sont organisées autour de

  • Dion Hinchcliffe (Understanding the Premise for the Future of Work),
  • Lee Bryant (Essentials for the Social Adoption & Community Management Strategy)
  • et Arnaud Rayrole (Identification of the Drivers for Collaborative Value Creation).
    Le programme est ambitieux et vous devriez trouver de quoi nourrir vos réflexions quant au rythme et au contenu de vos projets de transformation.

Cette année, la conférence se déroulera dans le XV° arrondissement et il reste quelques places disponibles les 3 pour les master class et les 4 et 5 février 2015 pour la conférence.

Pour une fois, sachez consommer ces « insights » sans aucune modération !

La conférence est sponsorisée par quelques éditeurs (SAP, Microsoft. BlueKiwi [Atos] et Jalios) et consultants (Next Modernity, Adjuvi, Publicis et Lecko).